Mauvais élève, toujours en fin de classement, Daniel Pennac s’avoue enfant fermé aux maths, dysorthographique, rétif à la mémorisation (histoire géo), inapte à l’apprentissage (langues étrangères), sans meilleurs résultats annexes (sport ou activité artistique), bachelier avec difficulté, semblant ne pas faire et surtout ne pas comprendre.
Voilà un prix Renaudot doublement mérité, par l’écrivain et par l’écolier, l’étudiant qu’il a été.
Merci, Daniel Pennac pour la sincérité du témoignage d’un grand écrivain parti de loin, pour l’espoir et l’humour nous manquant parfois pour avoir confiance et aller de l’avant.
Je dédicace cette ode à l’enfance, ce droit à la différence des écoliers inadaptés mais pas inaptes, à leurs parents paniqués autant qu’hérissés, aux enseignants qui s’engagent à leur côté pour faire rimer scolarité avec développement et espoir.
Voilà un prix Renaudot doublement mérité, par l’écrivain et par l’écolier, l’étudiant qu’il a été.
Merci, Daniel Pennac pour la sincérité du témoignage d’un grand écrivain parti de loin, pour l’espoir et l’humour nous manquant parfois pour avoir confiance et aller de l’avant.
Je dédicace cette ode à l’enfance, ce droit à la différence des écoliers inadaptés mais pas inaptes, à leurs parents paniqués autant qu’hérissés, aux enseignants qui s’engagent à leur côté pour faire rimer scolarité avec développement et espoir.
Chagrin d'école, de Daniel Pennac
Prix Renaudot 2007
Version brochée éditée par Gallimard
Ou poche chez Folio