
Un énorme poche de 600 pages qui se lirait d'une traite. Rythmé par 3 styles inspirés de 3 personnalités, qui collent de près à l’histoire.
La couleur des sentiments n'est pas le brûlot qu'il aurait été sous la présidence Kennedy. Mais il a valeur de témoignage, tout roman qu'il soit.
La ségrégation insidieuse du quotidien, celle des femmes en particulier est un thème malheureusement toujours d'actualité.